Après « Anna » en 2019, Luc Besson revient avec « Dog man » qui nous offre un magnifique spectacle. 

Au début du film, nous voyons le personnage principal se faire arrêter. En détention, cet homme travesti en femme et assis sur son fauteuil roulant, il répond au questionnaire imposé par la psychologue. Ce qui va nous permettre de connaître son histoire si particulière.

On apprend son passé tragique : enfant, le petit Douglas a été enfermé par son père dans la cage aux chiens dans leur jardin, durant des mois, traité comme un animal. Ce père cruel a tenté de le tuer mais la balle s’est logé dans le dos de l’enfant. Douglas adulte, partiellement paraplégique, vit dans un hangar au milieu de chiens qu’il a recueillis, ses amis et sa seule famille. Le soir, il monte sur scène dans un cabaret de drag-queens pour y chanter une chanson d’ Edit Piaf. Jusqu’au jour où des mafieux, avec qui il a eu affaire peu de temps avant, lui veulent la mort.

Merci à Luc Besson pour ce nouveau film vraiment intéressant qui nous a tous touchés ! ce personnage qui me faisait peur et m’intriguait au début est en constante évolution : plus l’histoire avance, plus nous ne pouvions qu’être interpellé par Douglas qui devient un personnage profond et très émouvant. Son récit face à la psychologue de la prison permet de le découvrir entièrement.

Je ne veux pas vous en dire plus car vous devez absolument le voir !! Mais ce que je peux vous dire c’est que j’ai trouvé le scénario bien construit et surtout de sublimes mouvements de caméra qui mettent en valeur les personnages et les arrière- plans. Les robes de Douglas sont colorées comme je l’apprécie. Je garde un très bon souvenir de ce film « Dogman ».

Merci encore à nos professeures de nous avoir permis d’aller dans les salles obscures et de nous faire découvrir le 7 eme art qui est le cinéma.

Critique de film écrite par Victor